mardi 26 août 2014

Yajuu Kanojo

Un garçon qui voit sa petite amie sous la forme d'une bête, une fille qui voit son petit ami sous la forme d'un loup... Et d'autres petites histoires comme de petites leçons de vie.


lundi 25 août 2014

Shitsuji shoujo to ojousama

Hinata Komukai est interne en deuxième année de collège (ce qui correspond à la quatrième) dans un établissement chic. Etant distraite et maladroite, elle admire Saki Tsugeyama, petite sœur dou Principal, riche, jolie, adroite, gentille, impeccable dans son comportement. Les parents de Hinata ayant dû fuir le pays en catastrophe à cause d'une dette à honorer, elle se retrouve sans un sou vaillant et ne peut plus se payer l'internat. Heureusement, lou Principal lui offre de rester dans son école en échange si elle tient le poste de majordome de Saki. (le poste ressemble plus à celui d'un valet de chambre, je trouve, mais bon, majordome, soit) Hinata accepte, ravie de pouvoir se rapprocher de son idole, mais elle va découvrir la face cachée de la trop parfaite Saki : colérique, capricieuse, et nourrissant une admiration, disons... excessive envers sa grande sœur.

Je ne suis pas trop un fan des histoires de domestiques : Bonnes, majordomes, chauffeurs, et tout ce cirque. Mais celle-ci je l'ai lue sans trop de soucis. Bon, elle n'est pas trop longue, non plus, je me vois mal m'enfiler Hayate no gotoku! par contre.

mercredi 20 août 2014

Centième article

Posons une pierre blanche...
J'ai choisi Claymore pour être mon centième article, parce qu'il fait partie de mes préférés depuis bien longtemps (l'auteur a un rythme de publication plus lent, il faut attendre dans les six mois chaque tome plutôt que deux mois pour un manga classique), à l'époque je passais parfois au Virgin des Champs Elysées passer en revue les nouveautés, et Claymore faisait partie des séries que je suivais.

jeudi 14 août 2014

Claymore

Depuis l'antiquité, les démons (ou yoma) se nourrissent des humains. Même s'ils sont bien plus puissants qu'eux, les démons pourraient être combattus par des humains normaux, s'ils n'avaient un pouvoir particulier, celui d'imiter à la perfection (et ils peuvent même tromper conjoints, enfants et parents) un humain qu'ils ont dévoré. Cela leur permet de se glisser incognito dans un village, de tuer les gens par dizaines et de s'exfiltrer avant qu'on ne les démasque.

Pour les contrer, les humains ont mis sur pied une organisation de lutte contre les démons: En greffant des tissus démoniaques sur des humaines, cette organisation a créé des guerrières cumulant la force, la rapidité et la capacité de régénération des démons, la maîtrise de soi des humains, et la capacité de lecture de l'énergie démoniaque, ce qui leur permet de traquer et d'éliminer la plupart des yoma en solitaire (et si c'est le démon qui gagne, on met un post-it "yoma dangereux" sur la carte, et on enverra une équipe régler la situation quand on aura le budget). Comme elles ont des yeux argent, et qu'elles brandissent d'une main une épée à deux mains, le commun des mortels les appelle les sorcières aux yeux d'argent, ou les claymore. (quoique le terme de sorcière vient peut-être du fait que leurs services sont hors de prix, monopole oblige)

Mais cette nature moitié humaine, moitié yoma des claymore est instable (encore plus dans le cas d'un mâle, ce qui fait que toutes les claymores sont des femmes) et les guerrières ont tendance à laisser leur nature démoniaque prendre l'ascendant sur elles, les changeant en démones à leur tour.

Claire est une claymore, elle est d'un abord glacial et ne semble s'intéresser qu'à tuer des démons. Elle adopte un peu malgré elle Raki, un garçon qui la suit depuis qu'elle l'a sauvé du yoma qui a massacré sa famille. Au contact de Raki et de son enthousiasme, au fil des rencontres, elle va sortir de son cocon: C'est quand même plus pratique d'avoir des ami(e)s sur qui compter, surtout lorsque les ennemis se multiplient.


Claymore est un manga qui a un énorme avantage sur la plupart des mangas à base de combats: L'auteur a entendu parler d'un concept appelé "tactique". Même s'il y a un paquet de bourrines qui tiennent à combattre seules, la baston contre des démons de haut niveau est plutôt une affaire d'équipe, où la coordination entre les membres joue un rôle primordial. Cela donne des scènes bien plus agréables à lire que les "moi rien écouter moi foncer moi taper t'inquiète j'ai un générateur de deus ex machina" bleachesques. Qui plus est, cela met l'accent sur l'entraide et la camaraderie bien mieux qu'un shonen classique.

Il n'est pas facile de garder cohérent un récit de ce type, sachant que les explications sur le fonctionnement de l'organisation, des guerrières, des démons sont disponibles en trois versions: Ce que l'on raconte au grand public, ce que les claymore savent, et ce que les chefs de l'organisation gardent pour eux. Le travail de l'auteur n'en est que plus méritoire.

Il y a un anime basé sur le manga, qui est très bien tant que l'histoire suit le manga, mais dont la fin est abominable: Les animateurs ont juste récupéré une "fin générique #3402" qu'ils ont assemblée à un moment de l'intrigue, et qui n'est absolument pas dans l'esprit. (remarque, s'ils avaient suivi le manga ils auraient dû finir sur un méga suspens, et comme il aurait fallu plusieurs années avant d'avoir suffisamment de matière pour faire une suite...) La musique est bien aussi; il faudrait juste zapper les derniers épisodes et embrayer sur le manga.


vendredi 8 août 2014

Poor poor lips

Okashi Nako est pauvre, c'est un peu comme cela qu'elle se définit. Avec son physique enfantin et sa manière de voir la vie toujours du bon côté, elle ressemble un peu à un adorable animal abandonné dans une boîte en carton. En cherchant un travail, elle est embauchée comme vendeuse dans une bijouterie par Ren Otsuka, qui est grande, belle, riche et lesbienne (c'est la première chose qu'elle dit aux candidates à l'embauche), même si Nako Okashi n'est pas son genre de fille.

Ce manga est un peu spécial pour moi, car j'ai commencé à le lire il y a de nombreuses années, il a donc un petit côté nostalgique qui s'y rattache. L'optimisme de l'héroïne est bon moyen d'avoir la pêche, et je ne peux m'empêcher de compatir avec la riche patronne qui a du mal à concevoir les relations personnelles en dehors d'un cadre financier. Je trouve ce manga sucré comme une part de gâteau de pâtissier, celui là, pas forcément le plus flashy ni la spécialité de la maison, mais celui qui vous fait pétiller les papilles, et que vous achetez de temps en temps le dimanche, quand vous avez décidé de vous faire plaisir.

dimanche 3 août 2014

Chichinpuipui

Kana s'et prise un râteau et va boire son chagrin au Witch's bar. Elle demande à la patronne si celle-ci ne connaîtrait pas un sort pour la faire aller mieux, et celle-ci, de guerre lasse, accepte. Cependant, le choix du sort est surprenant.

Une petite histoire gentille et sans prétention, juste pour dessiner un sourire sur le visage du lecteur.

Hatsukoi no Itazura

Une couple d'enfants s'était promis de se rencontrer dix ans plus tard, ils se retrouvent, mais, il y a comme un petit problème...
Une fille qui aime les enfants mais qui n'est pas aimée par eux rencontre un garçon qui n'aime pas les enfants mais est aimé par eux.
Une fille en a marre du hobby de son père: Malheureusement, son petit ami a le même passe-temps.

Une série d'histoires d'amour, bien mais sans plus.

vendredi 1 août 2014

49

Dans cette petite ville, les morts restent encore un peu parmi les vivants: Pendant 49 jours, il est possible, pour les habitants de la ville, de voir leur fantôme. Toyomura a fait une mauvaise chute, et pendant septs semaines, il va régler ses affaires: Cela inclut faire sa déclaration à Ichioka, l'héroïne de l'histoire.

Une histoire courte, en plusieurs tableaux, sur ce que serait la vie si l'on disposait d'un délai pour dire ce que l'on garde traditionnellement à dire avant de mourir.