mardi 29 décembre 2015

Essayage

Une petite tranche de vie d'une cabine d'essayage. 

Une série de jolis dessins de Aoki Toshinao. Je n'ai pas réussi à trouver le titre d'origine, c'est donc une traduction personnelle.

samedi 26 décembre 2015

Ashita wa Kyouso-sama

Dans le club de recherches occultes de l'université, il y a une fille qui prétend voir les fantômes, une descendante de sorcière, une en théorie exorciste et une chamane autoproclamée.

Mélangez, secouez, et ça fait une petite histoire assez délirante.

mardi 22 décembre 2015

Dungeon Meshi

Alors que le combat contre le dragon était perdu, et que Farlyn la magicienne était sur le point de se faire dévorer, elle put in extremis lancer un sort de retour à la surface pour le reste du groupe.

Théoriquement, il est possible de rusher le donjon, trouver le dragon, lui casser la gueule, récupérer ce qui reste de la magicienne dans ses entrailles et la ressusciter, mais il faut faire vite, et après les défections, il ne reste plus que Laius, le paladin humain, Marcille la magicienne elfe, et Chilchack le cambrioleur halfelin pour se risquer à cela. Et comme le groupe n'a pas été téléporté avec son butin, Laius suggère d'économiser sur les provisions et de survivre en mangeant les monstres.
Heureusement pour eux, ils font la rencontre du nain cuisinier Senshi, qui va leur apprendre à préparer et assaisonner les plantes et animaux que l'on trouve dans le donjon.

Une association hilarante de l'héroïc-fantasy et du manga de cuisine, je conseille cette histoire à celles et ceux qui savent déjà en regardant Masterchef qu'ils ne reproduiront pas les recettes. L'intrigue s'articule sur le principe du porte-monstre-repas: Nouvelle zone du donjon, confrontation avec le ou les monstres, préparation du repas.

Korisu Ballet

Yuki, qui admire sa camarade de classe Hana, apprend qu'elle fait du ballet.

Une petite tranche de vie

dimanche 20 décembre 2015

T-Rex na kanojo

Les dinosaures ont évolué au fil du temps, et sont devenus "Moe". Le héros, lisse à première vue, s'entiche de Churio, une T-Rex brute de fonderie qui passe ses journées à fouiller les poubelles.

Une variation sur le thème des couples improbables, dans le style classique de la fille qui ne comprend pas qu'on la trouve jolie. C'est sans surprise mais marrant.

mardi 8 décembre 2015

99%Love

Ria sort avec son petit ami à 99%, elle aimerait bien sauter le pas et aller jusqu'à 100%, mais pour cela, il faudrait que son cher et tendre fasse un peu plus attention à elle.

 Encore un one-shot romantique, à croire que je ne lis que ça (ce qui est faux, mais cela ne me demande que peu d'efforts à commenter). Celui-ci a un graphisme qui m'a rappelé un peu Crash!

samedi 28 novembre 2015

Ryu to hidari te

À côté du village de Kanbe, dans la montagne, habitent de mystérieuses personnes que l'on dit maudites. Misuzu, qui n'est pas venue au village depuis longtemps, raconte à son jeune cousin ce qui s'est passé il y a plusieurs années...

Une histoire sur les relations entre personnes "normales" et parias, où l'amitié nous fait signe, derrière les malédications.

jeudi 19 novembre 2015

Kipen Manga

Une série de courtes histoires se terminant généralement par une exclamation du lecteur: "Mais qu'est ce que c'est que ce truc que je viens de lire???"

dimanche 15 novembre 2015

Ii Orc no Hi

Un orque, au caractère Shrekesque, rencontre une elfe fantasque aux fantaisies fantasmatiques.

C'est marrant comme manga, mais personnellement j'aurais préféré l’héroïne un peu moins "boulet hystérique". (je ne sais pas ce que les japonais ont avec ce genre de personnage)

samedi 14 novembre 2015

Koiha mizuiro

Un petit garçon et une petite fille sont amis, mais le petit garçon doit déménager.

Une tranche de vie douce-amère qui prouve qu'il y a du bon dans la bédé expérimentale.

Gokiburi Buster

Le pire ennemi de l'humanité n'est pas le tigre à dents de sabre, le feu nucléaire ni même le cintre, c'est le cafard japonais. Une équipe de têtes brûlées vient en secours à une famille de civils en détresse.

Je ne comprends pas trop la peur des japonais pour les blattes, mais il paraît qu'elles sont plus grosses, rapides et agiles que les européennes.

vendredi 6 novembre 2015

Kekkonshite mo Koishiteru

Une femme, un mari, trois enfants, des anecdotes sur la vie de famille. C'est tendre, c'est sucré, et plein de taquineries entre protagonistes.

Ningyōdzukai

Un homme, en se promenant la nuit, découvre que les étoiles utilisent les gens comme des marionnettes.

C'est une histoire semi-absurde, dans le plus pur style bédé expérimentale. Le dessin est très moche.

mercredi 4 novembre 2015

Gaijin-chan to Mushinkei Boyish-chan

Un garçon manqué se moque de sa camarade étrangère qui ne correspond pas aux stéréotypes, et l'histoire dégénère.

Sans en être une, cette histoire ne déparerait pas dans un site de mangas érotiques.

Komi-san wa Komyusho desu

Komi-san est belle, c'est une beauté glacée. Mais cette façade cache un lourd secret: En fait, elle est morte de trouille à l'idée de parler à quelqu'un.

C'est court et léger, cela dédramatise les personnages distants qui sont des gens comme les autres.

mardi 3 novembre 2015

Inochi no Katamari

Un homme errant rencontre le fantôme d'une jeune fille. Ils marchent sans but précis, pour voir le monde.

Selon votre humeur ce sera un échange de banalités ou un conte philosophique.

dimanche 2 août 2015

Phoenix no Ongaeshi

Quand on est un garçon au Japon, il faut faire attention lorsque l'on sauve un animal, qu'il ne débarque pas quelques jours plus tard sous les traits d'une fille qui passera son temps à vous marquer à la culotte pour vous repayer du service que vous lui avez rendu. Dans le cas de cette histoire, l'animal est un phœnix, et cela raconte les premiers jours de cohabitation.

mercredi 29 juillet 2015

Avion en papier

Une astronaute trouve un avion en papier...

Une histoire taïwanaise écrite pour le festival d’Angoulême.

lundi 27 juillet 2015

Kappa no koi

Dans le japon ancien, un Kappa tombe amoureux d'une inconnue aperçue au dessus d'une palissade.

L'histoire est courte, plus de l'ordre du gag.

jeudi 9 juillet 2015

Hagane no Renkinjutsushi

Dans le pays d'Amestris, au moment de la deuxième révolution industrielle, se pratique une sorte de magie scientifique, appelée l'alchimie, qui permet de fabriquer des objets à partir de leurs constituants (on ne crée pas à partir de rien). Les frères Elric, malgré leur jeune âge, sont des alchimistes de talent. Mais le talent a ses limites, et le duo a payé le prix fort pour s'en rendre compte. Depuis, ils parcourent le pays en essayant de trouver un moyen de réparer les dégâts. Pour avoir accès aux archives et aux documents classifiés, Edward Elric s'est engagé dans l'armée, sans trop réaliser qu'à fouiner dans des dossiers secrets, il allait déterrer un paquet de cadavres. Et entre les terroristes, assassins, alchimistes fous, expériences de laboratoire, conspirateurs et autres espions, il y aura de quoi faire...

Il est difficile de résumer pourquoi ce manga est excellent, je vas essayer d'en dire deux trois mots:
- Il n'y a pas de grosbillisme, en ce sens que les personnages ne font pas des augmentations de puissance à tout bout de champ, quand l'intrigue le demande. Et aussi, même s'il y a pléthore de personnages bien bourrins, ou bien flippants, il n'y a pas cette impression d'individu "trop" puissant. Inversement, il n'y a pas de personnage trop faible, même les petits rôles peuvent avoir leur moment de gloire.
- L'intrigue est fouillée, avec une demi-douzaines de groupes différents ayant chacun leurs objectifs, les personnages ont leur individualité, leur caractère et leurs motivations, ce qui autorise pas mal d'alliances de circonstances, des fausses pistes, et un paquet de rebondissements. (Mon personnage préféré restant le colonel Mustang, alchimiste de flamme, qui, il faut bien le dire, a sacrément la classe.)
- Les personnages principaux, qui sont adolescents, ne sont pas idéalisés, et à ce titre l'oscillation d'Edward entre son côté "sale gosse" et sa quête de maturité, en fait un héros bien plus sympathique que le commun des héros de mangas d'aventure.
- Le dessin et bien fait, avec ce style que j'appelle le trait d'Hokkaido (parce ce qu'il y a deux mangakas originaires d'Hokkaido qui l'ont - C'est caractérisé par des personnages plus charpentés, comme il sied à des agriculteurs et des travailleurs manuels)
- L'auteur ne se prend pas au sérieux, et les gags qui émaillent le manga m'ont fait bien rire. (et les gags en  bonus, comme Alphonse et ses chats)

jeudi 11 juin 2015

Kurasumeito, Kamimura Yuuka wa Kou Itta

C'est encore un jour comme les autres pour Shirasaki Shuushi. Comme tous les jours, une de ses camarades de classe, Kamimura Yuuka, se donne en spectacle, entre insultes et provocations. Et comme chaque jour, tout le monde l'ignore ostensiblement. Mais ce jour là, Shirasaki en a marre et lui dit ses quatre vérités. Cela lui vaut de se retrouver dans une discussion abradacabrantesque d'où il ressort que ou la fille, ou le monde est cinglé. Malheureusement, les prochains jours vont lui permettre de constater que s'il y a encore des doutes sur la santé mentale de Kamimura, il y a clairement quelque chose de pas normal dans le monde, et Shuushi a bien l'intention de tirer les choses au clair.

Une ambiance où au début on ne comprend rien, où ne sait pas où aller, ni dans quelle direction, ni qui croire, lorsque le monde a volé en éclats. Un  petit côté Les cosmonautes du futur, un petit côté Matrix, font de cette série une histoire agréable, qui fait passer la dose de fanservice.

mardi 9 juin 2015

Philo Sophia

Ai est un peu têtue, très belle, et ne s'intéresse ni à l'alcool, ni aux garçons.
Tomo est plus âgée et aime garder une part de mystère.

Les deux se rencontrent dans la salle fumeur de l'université et commencent à se voir régulièrement.

Faites attention en lisant ce manga, vous risquez le cancer du poumon à force de voir les héroïnes cloper à tout bout de champ. Y'en a qui ne se sont jamais remis de la nouvelle vague, et il faut vraiment aimer ce style pour apprécier le récit, lent comme une fumée de cigarette qui s'envole paresseusement.

dimanche 7 juin 2015

KaraKara

Une histoire d'amour, classique, sans surprise. On va me dire que j'en lis pas mal, mais celle-ci, elle peut servir plusieurs fois, car j'ai déjà oublié ce qui s'y passe.

jeudi 4 juin 2015

Il est une lycéenne

Supposons que vous êtes un garçon, obsédé par la protection de votre petite sœur, au point que celle-ci préfère encore se faire harceler à l'école que de vous subir. Imaginons qu'elle entre dans une école pour filles, que faites vous?
A) Vous lui payez des cours de self-défense.
B) Vous vous déguisez en fille et vous la suivez.
C) Vous allez voir un psy pour soigner votre obsession malsaine pour votre petite sœur.
D) Vous faites appel à Dame Leia Organa (Obi-Wan Kenobi ne peut pas plus que vous entrer dans l'école de filles)

Oui, c'est la réponse B. Mais faire du travestissement quand on est surtout habitué à régler les problèmes à coups de poings n'est pas une chose facile, et Choi-Kang Bae va l'apprendre à ses dépends.

La Corée des manhwa est un peu effrayante, avec tous ces élèves qui se bastonnent sans arrêt et les profs qui regardent autre part, selon le compte-chèque du parent. L'histoire est sans surprise, mais pour le moment agrréable à lire.


mercredi 27 mai 2015

Yome ga lolitte dou yo!?

C'est une chose de se réveiller un matin en ayant perdu la mémoire, c'en est une autre d'apprendre que l'on était un mangaka spécialisé dans les histoires pédophiles et que l'on est marié à une fille de seize ans.

Sans le côté lolicon cela ferait une jolie petite histoire. Heureusement on ne fait qu'entre apercevoir les mangas que le héros dessine.

vendredi 22 mai 2015

Jigoku Koi Sutefu

L'enfer ressemble beaucoup au monde réel, sauf que chaque personne a une malédiction: Cela peut aller de manger un aliment que l'on déteste à collectionner les amours à sens unique et essuyer un refus chaque jour.
Le quatuor principal vit sa mort, ponctuée de mésaventures liées aux malédictions de chacun.

C'est assez léger et il faut aimer le nonsens. Cela me fait penser à Azumanga daioh, mais comme je n'ai pas lu Azumanga, je me trompe peut-être dans mon appréciation.

Asatte no Houkou

Iokawa Karada, la petite sœur de Iokawa Hiro, qui s'apprête à entrer au collège (en cinquième l'an prochain, donc), veut devenir adulte au plus vite. Nogami Shouko, l'ex petite amie et collègue de Hiro, veut rajeunir. Les deux se rencontrent, prient une pierre magique sans trop y croire, et échangent leurs âges.

Sur le thème du "faites attention à ce que vous souhaitez", l'histoire a une certaine amertume, surtout pour Karada. Dans le réalisme fantastique, tout n'est pas rose.

mardi 19 mai 2015

Boku to Kotori-chan

Quand ils étaient à la maternelle, Kotori-chan (Takanashi Hina) et Hi-chan (Masasagi Hiromi) se sont promis de se marier quand ils seraient grands. Depuis, ils sont au collège (première année de collège au Japon, soit la cinquième en France), et si Hina a eu une poussée de croissance, Hiromi, lui, attend toujours et tout le monde le prend pour un gamin de primaire.

C'est un manga de gags principalement sur le complexe de taille du garçon, la décalage entre l'apparence déjà adulte de la fille et son comportement encore puéril, et l'amour que les deux se portent (et comme ils se connaissent depuis dix ans, ils ont un petit côté vieux couple, par moments).

J'aime bien ce genre de manga mignon qui donne la pêche.

lundi 18 mai 2015

Half & Half

La rencontre entre Shinichi Nagakawa et Yuuki Sanada est hors du commun: Elle tombe d'un immeuble sur lui, et ils meurent. Tous les deux. Alors qu'ils se préparent à partir dans l'au-delà, une voix leur dit que seul l'un des deux sera autorisé à survivre, et leur donne une semaine pour décider lequel. Le couple se retrouve lié l'un à l'autre, forcés de tout partager jusqu'au moment fatidique.

Une histoire romantique où les deux protagonistes font à la fois leur introspection et la découverte de l'autre. Il semble que le mangaka ait un hate club, mais ce n'est pas avec cette histoire que je comprendrai pourquoi.

samedi 16 mai 2015

Aian naito

une maladie, le virus gobelin, transforme les gens en monstres. Malheureusement, ce ne sont pas des gobelins à la Tolkien, petits et couards, mais des êtres d'une taille et d'une puissance surhumaine. Quelques-uns de ces malades gardent une partie de leurs facultés intellectuelles, mais ce sont quasi-exclusivement des petits caïds et des yakuzas, autant dire qu'ils mettent plus de l'huile sur le feu qu'autre chose. Et au milieu de cela, Ushizume Teppei, notre héros, est atteint de la maladie, mais garde (souvent) toute sa tête: Il va défendre les survivants et surtout sa copine, Himegami Tsubasa.

Le chevalier qui défend les paisibles citoyens, un thème classique des mangas, ici dans un cadre post-apocalyptique. Classique et efficace.

jeudi 14 mai 2015

Mainichi Kimi No Koto Bakari

Deux amis d'enfance, pas de surprise à avoir, pas de défauts ni de points remarquables, une bluette pour les amateurs du genre.

mardi 12 mai 2015

Rengoku no Ashe

C'est une période de l'histoire où la chasse aux sorcières bat son plein. Bel, un moine-soldat, escorte un convoi de pèlerins, et pendant que le convoi se repose aux abords d'une ville, il rencontre Ashe, une guérisseuse, et se lie d'amitié avec elle. Seulement voilà, les guérisseuses sont une cible privilégiée de l'inquisition...

Une bien belle histoire, avec ce qu'il faut de noirceur pour la rendre intéressante.

dimanche 10 mai 2015

Hana michi otome

Depuis toute petite, Mikoto entend les voix des plantes. Elle a même sur le corps des taches en forme de fleurs, prouvant sa connexion avec le règne végétal. Mais elle vit cette particularité comme une tare, s'emmitoufle de vêtements pour ne pas qu'on voie sa peau, et est devenue la tête de turc de sa classe.
C'est alors que l'héritier d'une dynastie d'arrangeurs floraux est transféré dans son établissement...

Le premier chapitre est prometteur d'une histoire sur l'acceptation de soi, et d'un couple hétéroclite entre la tête de turc (la fille) et la tête à claques (le garçon), je vous rassure tout de suite, à partir du deuxième chapitre on bazarde la plupart de l'intrigue à la poubelle, on nettoie tout ce qui aurait pu faire l'originalité de l'histoire, et le manga devient un énième harem avec des bombasses à gros seins sur fond d'arrangement floral.

Savoir si c'est le mangaka qui n'avait plus d'idées passé le premier chapitre (style il a fait un dogeza à un vrai scénariste pour se faire sérialiser) ou si c'est l'éditeur qui lui a demandé un changement éditorial (ouais, c'est bien, tes petites fleurs, mais bon ça serait mieux avec des gros nichons) est laissé en exercice au lecteur. Mais relax, hein, c'est facultatif.

samedi 9 mai 2015

Nyan-nyan cantata

Un chat errant, qui a peur de s'attacher...

C'est une histoire douce d'un amour entre chat et humain.

mercredi 6 mai 2015

Collectors

Shinobu aime les livres et ne fait jamais d'efforts pour s'habiller, Takako aime la mode et ne lit jamais rien. Chacune des deux reproche à l'autre sa passion, mais ces disputes continuelles sont un aspect de leur vie de couple.

Le dessin est joli, et j'aime bien les histoires de couples, même conflictuels. Je mets cependant un bémol, les histoires étant un poil répétitives (mais c'est comme les couples dans la vraie vie qui ont toujours les mêmes discussions)

lundi 4 mai 2015

Manhwa générique signé Hwang Mi Ri

Hwang Mi Ri est un pseudonyme pour une série de manhwas produits à la chaîne, dont le scénario est toujours le même:
L’héroïne est une Marie Sue une fille avec laquelle il ne faut pas se frotter: Pour le montrer, elle commence par péter la gueule d'un cador local/petit délinquant/type qui lui a manqué de respect, lui et ses sbires. Puis, pour montrer que c'est vraiment une fille forte, elle continue à leur ravaler la façade au bourre-pif. Ensuite, alors que les mecs sont en fuite/se rendent/demandent grâce, elle continue à leur maraver la tronche, parce que, quoi, c'est une vraie fille forte, hein. Enfin, quand les mecs ont signé une capitulation sans condition/proposé un dédommagement au triple de la valeur des dégâts, les leurs et les siens/juré de ne plus marcher hors des clous jusqu'à la fin de leur vie, elle continue à tabasser les pauvres gars, qui à ce stade d'ailleurs, ne peuvent plus répliquer, tout cela parce que y'a une faute d'orthographe sur le traité de capitulation/Il y a cent won de trop dans le dédommagement et elle, on l'achète pas/on sait pas trop, mais bon, c'est une fille forte, quoi.

Je suppose qu'il y a autre chose après, mais ce stade là est le plus loin où je soie arrivé. Mais bon, quand on présente un personnage modelé à coups de marteau, la suite de l'intrigue ne doit pas valoir bien cher.

vendredi 1 mai 2015

Ou-sama wa Shitsuji-sama

Après être sortie de l'école hôtelière, Komori Fuji cherche un emploi en cuisine, de préférence dans un établissement avec des serveuses, parce qu'elle n'est pas à l'aise avec les garçons. Manque de bol, elle se retrouve dans un butler café ("café majordome" ne sonne pas bien) où serveurs comme cuisiniers sont tous des hommes. Qui plus est, le meilleur serveur, irréprochable en salle, est un sadique en cuisine.

L'intrique de base n'a aucune surprise, cependant ce manga n'est pas sans intérêt. Je pense qu'il pourrait plaire aux amateurs de bad boys, et pas seulement aux inconditionnels.

lundi 27 avril 2015

Boku to Senpai no Tekken Kousai

Himeko est attirée par les hommes violents: Assassins, violeurs, elle détecte et tombe amoureuse de tout gibier de potence qui se présente. Normalement, cela devrait se traduire pour elle par une réduction drastique de son espérance de vie, mais comme elle est la fille du patron de Koigaburo, la plus grande boîte du Japon, deux sbires veillent en permanence sur elle, son kouhai, Aoyama, et son garde du corps, Nikaidou, pendant qu'elle fait ce qui lui passe par la tête.

Aoyama, qui déteste la violence (comprendre: "Ou qu'elle est, la violence, que je lui marave la gueule?") pourra-t-il continuer à supporter Himeko et ses lubies?

Je l'ai lu parce qu'il était court, mais honnêtement, je n'ai pas trouvé que ce manga cassait des briquettes. Les histoires de oujo-samas insupportables et de vendettas familiales avec des personnages qui sont censés être comiques mais qui ne sont que navrants, cela me soûle, en plus ce genre d'histoire se retrouve par paquets de quinze.

mercredi 22 avril 2015

Suki mo Yoi

Des tranches de vie, des histoires qui parlent de ce qui motivent une personne, et des histoires d'amour.

Un dessin simple, bien adapté à ce genre d'histoires, pour passer un moment au calme.

jeudi 16 avril 2015

Jikan Akima Jinbutsu

Kouichi a tué la copine de Takashi, et celui-ci décide de se venger. Mais emmener le tueur chez lui et lui mitonner de bons petits plats est un peu étrange comme méthode de vengeance.
Takashi, qui se repose d'un burn-out, rencontre Kouichi qui est amnésique.
Takashi, malheureux en amour, est intrigué par Kouichi qui n'aime que lui-même.
Kouichi bosse ses exams, alors Takashi, qui est amoureux de lui, l'observe de loin.

Plusieurs histoires avec Takashi et Kouichi, parlant d'amour, des joies et surtout des peines que l'amour cause.
C'est intéressant, mais il faut aimer le genre.

mardi 14 avril 2015

Koi no Suicide

C'est bien d'avoir un petit boulot dans un café, c'est mieux de ne pas avoir un manager psychopathe.

Pas grand-chose à dire, il faut aimer ce genre d"humour.

samedi 11 avril 2015

Mudazumo Naki Kaikaku

Taizo Sugimura est un jeune député qui, sous l'aile du premier ministre Koizumi, assiste à sa première conférence internationale. Là il va découvrir la vraie nature des relations internationales: Tous les accords se règlent à coups de parties de Mah-Jong, jeu dans lequel Koizumi excelle.

Lorsque l'on voit Koizumi et G.W. Bush se battre sous les yeux d'un Taizo retenu en otage et en slip, on sait que l'histoire nous promet des moments grandioses à la "mais qu'est ce que c'est que ce délire?" Et on ne sera alors pas étonné de voir des scènes aussi improbables que Yulia Tymoshenko se battant contre le docteur Josef Mengele avec des tuiles en uranium de la centrale de Tchernobyl.

Mudazumo Naki Kaikaku n'est pas un simple manga, c'est un pilier que l'on installe pour délimiter là où l'intrique laisse la place au loufoque, où l'histoire cesse de faire sens. C'est une référence de ce que les  américains appellent le "WTF???", et un challenge permanent pour le scénariste: comment inventer un adversaire encore plus "surprenant" que le précédent? (il y arrive)

Les parties de mah-jong jouées sont totalement délirantes, et les joueurs trichent comme des malades (voire ont des superpouvoirs qui leur permettent de tricher), le but étant de ne pas se faire prendre (apparemment, si on n'est pas pris sur le vol, ça ne compte pas, un peu comme si au poker on admettait les mains de cinq as dans la mesure où l'on a pas été capable de voir le joueur tirer l'as de sa manche)

Ne lisez pas ce manga pour connaître la place de la France dans la politique internationale, vous seriez déçus.

jeudi 26 mars 2015

Okitsune-sama de Chu♥

Imaginez l'hisoire de Kami nomi zo Shiru Sekai jouée par les personnages de Doraemon: Notre héros, Moji Shimeta, possède toutes les qualités de Nobita (comprendre : aucune), et pour avoir une chance auprès de son amie d'enfance, Ishikawa Yuuko, il conclut un pacte avec un messager des dieux pour exorciser des esprits évadés qui possèdent des jeunes filles. Pour cela, il devra repérer la marque de possession, située juste au dessus des fesses, en essayant si possible de ne pas recourir à une agression sexuelle ou une séance de voyeurisme (et à défaut, à ne pas se faire prendre), puis se transformer en garçon magique (en fait, en fille-chat parce qu'au moment de choisir la forme de son avatar il était..., disons... perdu dans ses pensées), exorciser la fille (ce qui impliquera souvent de la mettre à poil - et de se retrouver à poil par la même occasion, on ne réalise pas le nombre d'esprits frappeurs nantis d'attaques déshabillantes), puis se sauver avant de se retrouver au poste pour voyeurisme, agression ou exhibition sexuelle (les grands exorcistes sont décidément incompris).

Vous l'avez compris, c'est une série remplie de filles à poil, avec un héros qui s'en prend plein la gueule. Le genre à regarder quand on se sent d'esprit potache.


Triple Kiss

Yukino est attirée par Sasegawa, qui cache son (beau) visage derrière ses cheveux. Mais Sasegawa semble sous la domination d'un autre garçon...

On a une liste d'ingrédients à histoire classique, avec le fameux le souvenir d'enfance mais comme c'est étrange, impossible de se rappeler qui on a vu et ce qu'on s'est promis. Celui-ci a fait sauter ma suspension d'incrédulité volontaire, du coup je n'ai pas vraiment accroché. Mais ce n'est peut-être pas si mal que ça, à bien y réfléchir. Les amatrices de Yaoi devraient bien fanfictionner dessus, par contre.

dimanche 22 mars 2015

Nekogurui Minako-san

Minako vit avec son chat Moeko. Minako aime beaucoup les chats et leur vie est remplie de calins et de jeux.

Dit comme cela, on croirait un clone de Nukoduke!, mais le traitement des histoires est totalement différent, et si les nukos sont tous publics, Nekogurui Minako-san est totalement cinglé et rempli de sous-entendus sexuels: les personnages passent la moitié de leur temps d'image en ahegao, soyez pévenus. (expression particulière d'une personne soumise à une émotion intense - donner plus de précisons rendrait cet article illisible pour les mineurs)

En bref, si Nukoduke! est un carré de chocolat, Nekogurui Minako-san serait plutôt une bouchée de natto, ou de bonbon piment, ou de tout autre produit au goût très prononcé que certains aiment et d'autres trouvent trop fort. (personnellement, je rigole d'un bout à l'autre de ce manga en me disant que lou mangaka est complètement cintré)

mardi 17 mars 2015

Crash!

On dit que chaque personne a un pouvoir dépendant de sa personnalité, et celui de Hana, lycéenne en seconde, et fille de la directrice d'une agence de production, est assez particulier: Lorsqu'elle rencontre quelqu'un de prometteur au niveau du talent, elle se met à saigner du nez. Mais un jour qu'elle fait des repérages dans un parc, elle tombe sur une altercation entre plusieurs jeunes et beaux garçons, et a un saignement de nez si fort qu'elle en tombe dans les pommes. Si son instinct ne la trompe pas, ce groupe de cinq garçons a le potentiel de devenir un boy's band exceptionnel. Seulement, il faudra les retrouver, les convaincre de signer, de former un groupe, alors qu'ils s'entendent à peu près aussi bien qu'une bande d'aventuriers dans le donjon de Naheulbeuk. Cela promet du travail pour Hana qui compte bien profiter de l'occasion pour passer du rôle de dénicheuse de talents à celui de manager à part entière.

C'est clair, nous sommes en plein dans le manga pour filles, mais il ne faut pas s'attendre à des tonnes de romance, c'est surtout l'alchimie interne du groupe et les compétences de l'héroïne en gestion des ressources humaines management qui sont au centre du manga.

samedi 14 mars 2015

Haru no Houtai Shoujo

Haru et Natsu forment un couple phare de leur classe. Mais il y a des choses que Haru ne peut pas raconter, même à Natsu. Par exemple, qu'il est capable d'invoquer des flammes sur ses mains, surtout qu'il ne maîtrise pas totalement son pouvoir (celui-ci lui échappe quand il est sur le coup d'une émotion violente), et encore plus parce qu'un pyromane sévit dans le quartier, et que Haru ne dispose pas d'un alibi en béton.

L'histoire mélange le fantastique et le policier, avec en premier plan l'amour que se portent Haru et Natsu, qui sera mis à l'épreuve des non-dits et des problèmes de confiance. Pour celles et ceux qui aiment leur manga bien cuit.

mercredi 11 mars 2015

Machiko wa Oborekake

L'énergique Sometani Machiko demande à Sekiya Asahi, le playboy de la classe, de coucher avec elle. Mais Sekiya refuse d'être l'outil pour un coup d'un soir et demande à ce qu'ils deviennent graduellement intimes, au cours de la semaine, avant de coucher ensemble et de rompre.

Bon, évidemment, tout se passe bien, le playboy étant en réalité un gentil garçon. L'histoire est agréable à lire, même s'il y a quelques détails de la tuyauterie interne de l'héroïne que l'on se sent un peu gêné de connaître.

mardi 10 mars 2015

Murasakiiro no Qualia

Marii Yukari a de grands yeux pourpres et une vision très particulière: Elle voit les êtres vivants comme des robots, et assez étrangement, cette manière de voir lui permet de déceler certaines particularités cachées de ses interlocuteurs (machine est équipée d'un viseur télescopique, elle doit avoir une bonne acuité visuelle). Par contre, comme il les gens ont tendance à réagir bizarrement quand elle leur dit qu'ils sont équipés de turbopoings ou qu'ils ont des missiles dans le cul, elle cache sa spécificité et reste plutôt discrète. Hatou Manabu est la meilleure amie de Marii (Marii la voit comme un robot évolutif), et a pris la décision de la défendre contre les problèmes que son pouvoir lui engendre. Mais la fréquentation de Yukari va lui apporter bien plus de soucis qu'elle ne le pense.

Qualia la pourpre est un manga qui s'interroge beaucoup sur notre perception de la vie, de l'univers, et du reste. On y réalise qu'une question n'a pas forcément une bonne réponse, et que plusieurs visions du monde qui semblent contradictoires peuvent coexister. L'auteur semble s'être tenu aux courant de spéculations récentes sur la nature de l'univers (même si cela se résume peut-être à avoir lu Y a-t-il un grand architecte dans l'univers ?) C'est parfait pour celles et ceux qui veulent se faire des nœuds au cerveau. Y'a aussi de l'action et le dessin est joli.

mardi 3 mars 2015

Aka no Sekai

Les grands parents ont fait et subi la guerre, les petits enfants en subissent encore les conséquences, mais profitent aussi des dividendes de la paix. Plusieurs histoires de l'une ou l'autre génération.

Du mystère, du doux-amer, de la douleur et de l'espoir, ces histoires font passer un moment agréable.

lundi 2 mars 2015

Mahou Gyoushounin Roma

Si vous avez un souci, que ce soit dans vos études, vos amours, vos finances, votre santé ou celle de vos proches, et que votre "Klesa" (ce que l'on pourrait traduire par "envie") est assez grand, la mystérieuse Roma vous l'échangera contre un objet magique qui vous permettra de réaliser votre souhait. Et il y a même des chances que le pouvoir de l'objet ne se retourne pas contre vous.

Une collection de petites histoires sur le thème de: "faites attention à ce que vous souhaitez". Joli dessins, les histoires ont un bon mélange entre celles qui finissent bien, celles qui finissent mal et celles qui finissent entre les deux.

dimanche 22 février 2015

Kiryuin Kaya ni Chi wo Suwareru dake no Kantan na Oshigoto

Tadayoshi vit dans un orphelinat de l'église Kinder Surprise Kreuz, une sorte de nouvelle religion.
Il rencontre Kiryuin Kaya, mélange de yakuza et de vampire, qui lui propose un travail à mi-temps, en tant que nourriture (son sang est de qualité spéciale). Evidemment, cela va lui valoir des ennuis avec l'église.

J'ai peut-être trop lu des histoires de ce genre et suis devenu plus exigeant, mais je trouve ce manga un peu "forcé". L'intrigue est mise en place à coup de marteau, les scènes de fan-service sont trop gratuites, la fin est bâclée (le manga a été annulé, donc c'est normal). Le dessin est joli, mais l'ensemble donne un côté mangaka habitué à faire des histoires érotiques qui s'essaie au récit classique mais n'y arrive pas trop.


samedi 21 février 2015

Guru guru Meguru

Meguru n'a jamais eu de contacts avec les garçons avant d'entrer au lycée. Maintenant elle est coincée entre son frère hyperprotecteur, et son camarade de classe qui s'est mis en tête de l'éveiller à l'amour.

Quitte à vous gâcher entièrement l'histoire, je vous préviens que les deux garçons ne finiront pas ensemble.

vendredi 20 février 2015

Kyou Kara Yonshimai

Botan, employée de bureau, Sakura, lycéenne, et Momiji, otaku (c'est la benjamine, et elle va aussi à l'école, mais c'est le terme d'otaku qui la caractérise le mieux), apprennent que leur frère, Kashiwa, qui vivait seul depuis son départ à l'université, a décidé de rentrer vivre à la maison. Mais en rentrant, celui-ci leur annonce qu'il est transgenre, et qu'il vivra désormais en tant que fille.

Sakura, qui était en admiration devant son grand frère, va avoir besoin de temps pour remettre ses idées en place, et si cela ne suffisait pas, elle doit aussi gérer Uozumi, un de ses camarades de classe, qui s'est déclaré à elle, mais présente pas mal de caractéristiques du genre de personnes que les américains appellent des poires à lavement.

Le thème central de ce manga est la réaction des proches devant une personne transgenre, et sur les liens familiaux en général.

mercredi 18 février 2015

Ohimesama no Kagami

Nishie Miu ne rêve que du prince charmant qu'elle rencontrera, avec lequel elle se mariera, et sera femme au foyer pour élever 2,1 enfants. Mais comme elle est dans un lycée de filles, elle demande à sa senpai, Fujiwara Nagisa qui est grande, belle, un peu androgyne et a une dette envers elle, de sortir ensemble pour de faux, et Fujiwara accepte.

Le démarrage semble un peu tiré par les cheveux, je trouve, mais après ça passe tout seul, et c'est une jolie histoire d'amour.

jeudi 12 février 2015

Himitsu Sentai Momoider

Être défenseur de la justice et super héroïne, au sein de la fabuleuse équipe des Momoider est un travail comme un autre, mais avant de commencer ses aventures, Momo Sakura, l'héroïne, devrait déjà apprendre à arriver à l'heure au boulot (et si possible en un seul morceau).

Il n'y a pas grand-chose à dire, à part qur l'héroïne n'a absolument aucune expression; cela ne casse pas des briquettes mais cela ne dure pas longtemps, et ça peut faire plaisir aux fans de GTO puisque c'est son mangaka qui est aux manettes ici.

lundi 9 février 2015

Luck Stealer

Dans le monde de la pègre, un assassin est particulièrement recherché: Le "Luck stealer", qui a l'étrange pouvoir d'absorber la chance des gens rien qu'en les touchant, ce qui les laisse avec une poisse telle qu'ils peuvent mourir de malchance juste après (et quand on est yakuza, et qu'on s'agite avec un couteau en disant: "qu'es tu m'as touché, toi?", cela vient assez vite). Celui-ci, Yusei Kurusu, malgré son jeune âge, a une petite fille dont il est totalement gaga, qui n'a aucune chance, et doit absorber celle que son père a glané pour elle. Kurusu aimerait bien trouver une solution pour soigner sa fille Karin et arrêter de faire le tueur à gages, mais les personnes qui peuvent lui en apprendre sur son pouvoir risquent fort de lui présenter une addition salée pour leurs services.

Si vous arrivez à supporter les moments de "papa gâteau", qui son à mon humble avis un peu pénibles (le gag du malfrat avec une tête de tueur qui refuse un truc et qui accepte la seconde d'après avec un  grand sourire parce que sa fille le lui a demandé ça va cinq minutes) c'est une histoire honnête.

dimanche 1 février 2015

Daidai wa, Hantoumei ni Nidone Suru

Dans cette petite ville, le policier a fort à faire avec les jeunes: Il en retrouve périodiquement un dans la flotte qui lui fournit des explications incompréhensibles. Et entre les têtes décapitées qui boivent du jus de pomme, les filles qui grandissent un peu trop vite, les lycéennes qui combattent les aliens ou celles qui explosent de bonheur, il y a de quoi s'inquiéter.

Une collection d'histoires courtes reliées d'un vague fil conducteur, ce qui permet de les lire indépendamment, situées dans une ville portuaire. Les fans de fantastique japonais seront à leur aise.

vendredi 30 janvier 2015

Shinigami-sama to 4-nin no Kanojo

Kaoru Minaguchi est un élève de quatrième, sensible et timide, qui rêve d'amour pur et lit des mangas romantiques (Fruit Basket ou Kimi ni Todoke, par exemple). Autant dire que ses petits camarades le traitent de lavette. En plus, il est nul en classe et a à peine la force physique de tordre un loukoum. Au point qu'un ange de la mort vient en personne lui dire qu'il est si naze qu'il a été désigné comme consommable, et allez hop, la crise cardiaque dans les 40 secondes, et tu essayeras de faire mieux la prochaine fois.

Acculé, Kaoru prétend avoir eu l'intention de déclarer sa flamme à son aimée le lendemain, et l'ange lui accorde un délai: S'il se trouve une copine, il sera gracié, sinon c'est le cercueil. Histoire d'assurer le coup, Kaoru va écrire quatre lettres d'amour à quatre filles différentes, et bien évidemment, les quatre acceptent (s'il y en avait eu 0 ou une, le manga n'aurait tenu qu'un chapitre)

Je me suis bien marré à lire cette histoire de quadrigamie, même si ce n'est pas très charitable de se moquer de l'embarras du personnage principal qui doit jongler entre les quatre filles aux tempéraments particuliers qui vont bien entendu se croiser en permanence.

jeudi 29 janvier 2015

Mu-kai

Kenta vit dans un endroit étrange, sorte de poubelle du cosmos, mais il s'y plaît. Il rencontre Mika, amenée ici par une tempête qui semble n'avoir rien à envier à celles du Kansas. Ensemble ils explorent ce monde étrange, qui leur réserve de sacrées surprises.

Une petite histoire qui m'a ému, j'ai bien aimé le concept et les explications scientifiques. une réflexion sur la vie, la mort, et l'espoir au bout du compte.

mardi 27 janvier 2015

Boku ni Koisuru Mechanical

Shinjou Maita a le bol de sa vie: Alors que cet étudiant à l'université essaie de recruter des gens pour le club de recherche cinématographique (principalement tourné vers les films d'horreur de série B - le genre de personnes capables de discuter des heures sur les différents types de zombies), il a un ticket avec une jolie première année. Sauf que, le soir même, une fille mystérieuse déboule chez lui pistolet au poing, et lui dit de surtout ne pas laisser une fille, qui qu'elle soit, le draguer. Mais bon, entre une foldingue de la gâchette et un ange descendu des cieux, le choix est vite fait, et ce n'est pas comme s'il pouvait y avoir un danger à apprécier la compagnie d'une jeune étudiante, non?

Boku ni Koisuru Mechanical plaira forcément aux fans de Terminator et de films de zombies, mais j'invite les normalfags autres personnes à le lire: C'est souvent drôle, avec de l'action et sans trop se prendre au sérieux, le dessin est joli, et le mangaka a bien réussi la fin, se payant le luxe de faire un pied de nez à l'annulation même de la série.

samedi 24 janvier 2015

Cosplay Deka

Comme Ritsuka Azuma a un physique de mannequin et une dégaine de garçon manqué, lorsqu'elle porte son uniforme de policière les gens pensent qu'elle fait du cosplay, ce qui n'est pas sans poser de problèmes, au grand dam de sa senpai/formatrice, Ai Morimiya . Un jour elle découvre une victime de viol encore en état de choc ; seulement voilà, la victime ne s'est apparemment pas débattue, il faut donc attendre qu'elle dépose plainte pour lancer une enquête officielle (selon la loi japonaise), et Ritsuka n'entend pas se tourner les pouces pendant que le violeur court les rues.
Pour l'aider, ou lui mettre des bâtons dans les roues, selon la situation, elle va se retrouver entourée de trois jeunes et beaux garçons: Le responsable et dominateur Eiji Itsuki, le gentil et possessif Daisuke Takaya, et le mystérieux et volage Yuki Konishi.

Donner une appréciation de cette histoire est difficile, le lecteur est confronté à un tombereau d'idées reçues sur le viol et les agressions sexuelles, qui sont démontées avec plus ou moins de subtilité. Oul pourra être dégoûté par les réactions des gens, ou soutenir l'héroïne qui essaie de faire bouger les choses.

En résumé, c'est une histoire à réserver aux gens capables de gérer un récit où les même les gentils peuvent parfois se comporter en gros cons, et il n'y a pas toujours un panneau clignotant "danger connerie" derrière, pour signaler.

mardi 20 janvier 2015

Chiyahoya shite yo!

Meguru s'est engagée dans un lycée de garçons histoire de se faire un harem inversé. Tous les mecs la courtisent, sauf un qui la snobe ostensiblement. Vous pouvez prédire la fin, y'a pas de piège.

Taiyou no Kiseki

Shuri revient sur l'île paradisiaque où elle vivait il y a 8 ans et retrouve Kanato, son ami d'enfance.

Une histoire romantique sans surprise, pour les amateurs du genre.

dimanche 18 janvier 2015

Oishii Kamishama

Dans la religion traditionnelle japonaise, il y a un dieu pour chaque chose. Cela implique que chaque spécialité culinaire aie son dieu. Comme par hasard, c'est toujours une déesse, elle est toujours jeune et jolie, et elle se doit de présenter ses "ingrédients" à l'insistance du narrateur. (n'attendez pas de nudité, cependant)

Les capacités des japonais à anthropomorphiser tout et n'importe quoi ne cesse de m'impressionner, et le côté "mais qu'est-ce que je suis en train de lire, là?" peut avoir son charme. Cependant, le mangaka, s'il voulait vraiment nous présenter des plats raffinés, aurait pu le faire avec une construction du récit qui ne rappelle pas les papillotes ou le massepain industriel que l'on trouve en hard discount.

En résumé, ce manga n'est qu'une dose de cuisine et une de fanservice collées ensemble : bon appétit!


samedi 17 janvier 2015

Gaussian Blur

Hwang Dong Wook est le premier de sa classe et passe son temps à étudier. Il se fait tabasser régulièrement par Jang Kwon Soo, le Biff Tannen local.

Choi Yool est dernière de la classe et passe son temps à se maquiller. Elle n'embête personne, mais toutes les autres filles la détestent.

Hwang Dong Wook et Choi Yool ne vivent pas dans le même monde, et n'ont rien à se dire. Mais, parce qu'ils n'ont aucun ami ni l'un ni l'autre, pour se protéger des brutes, pour se faire pardonner de leur lâchetés, pour survivre, ils vont bâtir une relation amicale.

Paradoxalement, ce que j'aime, dans ce manhwa, ce sont les moments où il ne se passe rien, quand les deux protagonistes essaient de comprendre s'ils vivent une relation ensemble, ou s'ils sont juste côte à côte. C'est un peu un OVNI par rapport à ce que je lis sinon, mais je trouve que c'est agréable à lire, une bière à la main, en refaisant le monde.

jeudi 15 janvier 2015

Nishikaze to Taiyou

Zéphyr et Soleil (oui, c'est la traduction directe du titre) sont deux chasseurs de trésors, à la recherche d'une déesse. Mais la statue de ladite déesse leur réserve quelques surprises.

C'est un pilote de la part du mangaka de Rave et de Fairy Tail. Vu qu'il date de 2010, il est probable qu'il en restera à ce stade.

dimanche 11 janvier 2015

Shutter Chance

La principale source d'argent du club de photographie sont les clichés revendus à des élèves amoureux qui n'osent pas déclarer leur flamme. Nous suivons le couple de photographes qui dissertent sur la façon de prendre les photos et ce que leurs clients recherchent.

Les technologies changent, mais histoires d'amour ne se démodent pas.

samedi 10 janvier 2015

RKD-EK9

C'est officiel, oun savant a prouvé qu'il y avait une vie après la mort, et que le paradis existait. Qui plus est, les conditions d'entrée ont été déterminées et quantifiées. Seul problème, les meilleurs individus sur terre arrivent à un dixième environ des points requis pour l'admission au premier ciel.
Du coup, les humains ont abandonné l'idée de jouer de la harpe, lou savant a été viré de son université à coups de pompe dans le cul, et seuls quelques clubs scolaires avec trois lycéens idéalistes s'intéressent encore au truc.

Je ne sais pas s'il faut plus rire ou réfléchir en lisant cette nouvelle, je laisse l'appréciation au lecteur.  (Cette série de nouvelles de NisiOisiN est une vraie mine)