samedi 28 janvier 2017

Watashibito

Il est une entité qui, chaque jour, se réveille dans le corps d'un être différent. Cette nouvelle est un petit aspect de ce qu'elle vit. C'est intéressant, et rapide à lire.

samedi 21 janvier 2017

Little Jumper

Ichinose est un bon à rien de lycéen. Un jour, il est poursuivi par des agents spéciaux, des robots, et sauvé par une fille venue du futur qui prétend être sa fille, Chimari. C'est après cela que ça commence à devenir compliqué...

Honnêtement, avec une série de voyages dans le temps partant dans tous les sens, des robots, des cyborgs, des considérations fumeuses, des gens qui se passent des messages à eux-mêmes, j'ai fini par ne plus rien comprendre, et en plus je mélange tous les personnages. (et en plus, ils sont pour la plupart en double, voire en triple) Et je n'ai pas eu suffisamment envie de reprendre le manga et de noter qui était qui.

En bref, de la science-fiction, des combats, du paradoxe temporel à la louche, mais pas suffisamment de cette petite touche qui fait la différence entre un manga moyen et un bon manga.

mercredi 18 janvier 2017

Oniichan no Koto Nanka Zenzen Suki ja Nai n da kara ne!!

Nao fantasme sur son grand frère, et tient absolument à ce que ce soit réciproque. Lorsqu'elle se rend compte qu'ils ne sont en fait pas réellement frère et sœur, et hésite entre le "chouette, c'est open bar, alors" et le "ah non, c'est moins pervers, maintenant".

Bon, c'est la série classique où la moitié des protagonistes sont des gros pervers et où il ne se passe rien. D'ailleurs, dans l'histoire il ne se passe pas grand-chose, et s'il n'était le dessin que je trouvais joli pour je ne sais quelle raison, je n'aurais pas repris l'histoire, je pense. Ce n'est pas que ce soit mauvais, mais c'est sans trop de relief.

lundi 16 janvier 2017

Virgin Ripper

Hikari Kotoburi est une héroïne typique de Shojo manga: énergique, maladroite, souriante et pleine de bonne volonté. Cela détonne un peu, puisqu'elle est au purgatoire, faisant un travail de psychopompe (entité qui guide les morts), ce qui signifie qu'elle s'est suicidée précédemment. Alors forcément, la tenue de croque-mort modifiée façon "magical girl" et la cuillère géante à la place de la faux lui valent une petite réputation.

Son supérieur est le commandant Ryouma, fils du dieu de la mort lui-même, qui est un héros typique de Shojo manga, grand, beau, né une cuillère en argent dans la bouche, un cœur d'or caché derrière un extérieur je-m'en-foutiste, et une bonne propension au harcèlement sexuel.

Et, à vrai dire, le démarrage est aussi typique du Shojo manga: Le héros s'arrange pour piquer le méga-artefact de la mort qui tue, sa tête est mise à prix et l'héroïne est la seule à pouvoir l'arrêter, bien qu'elle ait encore des sentiments pour lui.

Par contre, ce n'est pas une nouvelle mais une histoire plus longue (10 volumes), et s'il faut aimer les bons sentiments et les intrigues qui finissent un saut périlleux avec réception un peu bancale, c'est une lecture agréable.