lundi 27 avril 2015

Boku to Senpai no Tekken Kousai

Himeko est attirée par les hommes violents: Assassins, violeurs, elle détecte et tombe amoureuse de tout gibier de potence qui se présente. Normalement, cela devrait se traduire pour elle par une réduction drastique de son espérance de vie, mais comme elle est la fille du patron de Koigaburo, la plus grande boîte du Japon, deux sbires veillent en permanence sur elle, son kouhai, Aoyama, et son garde du corps, Nikaidou, pendant qu'elle fait ce qui lui passe par la tête.

Aoyama, qui déteste la violence (comprendre: "Ou qu'elle est, la violence, que je lui marave la gueule?") pourra-t-il continuer à supporter Himeko et ses lubies?

Je l'ai lu parce qu'il était court, mais honnêtement, je n'ai pas trouvé que ce manga cassait des briquettes. Les histoires de oujo-samas insupportables et de vendettas familiales avec des personnages qui sont censés être comiques mais qui ne sont que navrants, cela me soûle, en plus ce genre d'histoire se retrouve par paquets de quinze.

mercredi 22 avril 2015

Suki mo Yoi

Des tranches de vie, des histoires qui parlent de ce qui motivent une personne, et des histoires d'amour.

Un dessin simple, bien adapté à ce genre d'histoires, pour passer un moment au calme.

jeudi 16 avril 2015

Jikan Akima Jinbutsu

Kouichi a tué la copine de Takashi, et celui-ci décide de se venger. Mais emmener le tueur chez lui et lui mitonner de bons petits plats est un peu étrange comme méthode de vengeance.
Takashi, qui se repose d'un burn-out, rencontre Kouichi qui est amnésique.
Takashi, malheureux en amour, est intrigué par Kouichi qui n'aime que lui-même.
Kouichi bosse ses exams, alors Takashi, qui est amoureux de lui, l'observe de loin.

Plusieurs histoires avec Takashi et Kouichi, parlant d'amour, des joies et surtout des peines que l'amour cause.
C'est intéressant, mais il faut aimer le genre.

mardi 14 avril 2015

Koi no Suicide

C'est bien d'avoir un petit boulot dans un café, c'est mieux de ne pas avoir un manager psychopathe.

Pas grand-chose à dire, il faut aimer ce genre d"humour.

samedi 11 avril 2015

Mudazumo Naki Kaikaku

Taizo Sugimura est un jeune député qui, sous l'aile du premier ministre Koizumi, assiste à sa première conférence internationale. Là il va découvrir la vraie nature des relations internationales: Tous les accords se règlent à coups de parties de Mah-Jong, jeu dans lequel Koizumi excelle.

Lorsque l'on voit Koizumi et G.W. Bush se battre sous les yeux d'un Taizo retenu en otage et en slip, on sait que l'histoire nous promet des moments grandioses à la "mais qu'est ce que c'est que ce délire?" Et on ne sera alors pas étonné de voir des scènes aussi improbables que Yulia Tymoshenko se battant contre le docteur Josef Mengele avec des tuiles en uranium de la centrale de Tchernobyl.

Mudazumo Naki Kaikaku n'est pas un simple manga, c'est un pilier que l'on installe pour délimiter là où l'intrique laisse la place au loufoque, où l'histoire cesse de faire sens. C'est une référence de ce que les  américains appellent le "WTF???", et un challenge permanent pour le scénariste: comment inventer un adversaire encore plus "surprenant" que le précédent? (il y arrive)

Les parties de mah-jong jouées sont totalement délirantes, et les joueurs trichent comme des malades (voire ont des superpouvoirs qui leur permettent de tricher), le but étant de ne pas se faire prendre (apparemment, si on n'est pas pris sur le vol, ça ne compte pas, un peu comme si au poker on admettait les mains de cinq as dans la mesure où l'on a pas été capable de voir le joueur tirer l'as de sa manche)

Ne lisez pas ce manga pour connaître la place de la France dans la politique internationale, vous seriez déçus.