Son supérieur est le commandant Ryouma, fils du dieu de la mort lui-même, qui est un héros typique de Shojo manga, grand, beau, né une cuillère en argent dans la bouche, un cœur d'or caché derrière un extérieur je-m'en-foutiste, et une bonne propension au harcèlement sexuel.
Et, à vrai dire, le démarrage est aussi typique du Shojo manga: Le héros s'arrange pour piquer le méga-artefact de la mort qui tue, sa tête est mise à prix et l'héroïne est la seule à pouvoir l'arrêter, bien qu'elle ait encore des sentiments pour lui.
Par contre, ce n'est pas une nouvelle mais une histoire plus longue (10 volumes), et s'il faut aimer les bons sentiments et les intrigues qui finissent un saut périlleux avec réception un peu bancale, c'est une lecture agréable.
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