lundi 9 juin 2014

Majimoji Rurumo

Shibaki a deux occupations dans la vie: Servir de factotum (voire de cobaye si besoin est) dans le club de recherche occulte du lycée et gérer sa réputation de pervers du lycée, qu'il a consciencieusement  développée à l'école primaire et au collège et qui revient le mordre cruellement au lycée. Moitié à cause de sa mise sur liste noire, moitié parce qu'il ne cherche pas à se ranger, il doit se défendre contre les rumeurs plus ou moins fondées qui courent sur lui, qui incluent voyeurisme, trafic de magazines coquins, vol de sous-vêtements, j'en passe et des meilleures et jusqu'au kidnapping de petites filles à la sortie des écoles. (On pourrait faire un thèse sur la perversion comme qualité héroïque, vu le nombre de héros pervers que le Japon produit)

En testant un livre de formules magiques pour le compte de son club occulte, il invoque la sorcière Ruromo, qui doit exaucer ses vœux, mais va prendre sa vie en échange. Shibaki, qui ne cracherait pas sur quelques voeux à formuler, n'a pas envie de mourir, et ne veut pas poser de problèmes à la sorcière, qui sera sanctionnée durement si elle ne remplit pas le contrat, va essayer de trouver des expédients.

 Si le héros me paraît assez quelconque, j'aime bien l'héroïne qui est un joli exemple de dandere. L'histoire reste classique à part quelques innovations (la mère du héros est une yangire)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire